Cela à vallut la peine d'être une mère qui prie

Je m'appelle Margarida Sequeira Alves, j'ai 2 enfants, une fille de 25 ans et un fils de 18 ans.Lorsque mon fils avait 16 ans ma lutte pour lui a commencé.Je commençais à trouver du sang sur les draps de son lit, je lui demandais ce qui se passait et il disait qu'il s'était coupé, mais je trouvais cela bizarre car je ne voyais jamais de blessures sur lui.J'apréhandais car je ne savais pas ce qui se passait avec mon fils, ce fut lorsque je fis des recherches dans sa chambre que j'ai trouvé plusieurs lames, et je lui ai demandé c'était pourquoi tout cela, et j'ai découvert qu'il se coupait tout, dans les jambes, les bras, et le pire, il consommait de la drogue.Je suis restée très triste lorsque j'ai appris que mon fils s'auto-mutilait, consommait de la drogue, de l'alcool, et qu'il fumait beaucoup. Il était très maigre, il ne mangeait pas, il s'alimentait avec la drogue.Comme je connaissais déjà le projet Mères qui Prient, j'ai commencé à me révolter et à prier afin que Dieu vienne à le délivrer de ce vice.Je perdais mon fils petit à petit, je savais que seulement le pouvoir de la prière pouvait faire l'impossible arriver.Tous les dimanches je suis là, avec toutes les mères de Zurich, ensemble nous prions et nous intercèdons pour nos enfants, afin qu'ils deviennent libres des forces du mal, pour qu'il y ait la délivrance, et qu'ils puissent grandir avec la protection du Création.Ce fut alors qu'il y a eut une transformation dans la vie de mon fils Dylan,il a commencé à participer au Centre d'Accueil, et aujourd'hui c'est un jeune délivré de tous les vices, ce fut une lutte difficile, mais Dieu m'a donné la victoire, ça fait 5 mois que mon fils est délivré des drogues, il est un jeune sain, plein de vie, avec un brillant futur devant lui.Cela à vallut la peine d'être une mère qui prie, ça vaut la peine de se confier, ça vaut la peine de faire partie du projet Mères qui Prient.La prière est faite tous les dimanches à 9:30 du matin à : Baslerstrasse 30-8048 ZurichCollaborationCarina Bravo