Ivanir Lima Santos |
Je m’appelle Ivanir Lima
Santos, comme toute femme quand elle se marie, veut une famille.
Lorsque j’ai décidé d’avoir un enfant, mon mari et moi, n’y arrivions pas, c’est seulement après un an et demie de beaucoup de luttes que j’y suis arrivée. J’étais très contente car j’allais réaliser un rêve, celui de devenir mère et de former une famille. Dans la 14eme semaine de grossesse j’ai réalisé un bilan sanguin, un examen de routine. Après deux jours, le médecin m’a appelé pour me dire qu’il a constaté quelque chose dans mon sang, et que je devais retourner là-bas pour refaire l’examen. Et à ce moment là, il m’a dit ce que cela pouvait être, et il m’a envoyé voir un spécialiste.
J’ai dû attendre une semaine, car c’était encore trop tôt pour voir les résultats ! Alors, j’ai ensuite été voir le spécialise et il m’a confirmé que le bébé avait une malformation dans la colonne.
Je suis restée hors de moi, mais je croyais en Dieu, qu’Il pouvait changer cette situation. J’ai dû faire une Amin synthèse et une série d’échographie spéciales, et je voyais mon bébé bouger et on ne pouvait pas le croire, car il était parfait. Ma dernière consultation avec le médecin, pour connaître le résultat de l’Amin synthèse et pour savoir si cela était grave ou non, je n’avais jamais entendu parler de ce problème, alors le médecin a dit que ce n’était pas génétique mais que le bébé a la colonne ouverte et qu’il fallait que j’avorte en urgence avant les 23 semaines.
J’ai perdu mon souffle et j’ai commencé à questionner Dieu, pourquoi moi, pourquoi cette humiliation si je te sers, et le diable travaillait dans ma pensée, tu as vu maintenant tout le monde va se moquer de toi, quel Dieu est-Il pour te laisser dans cette honte, bref que des doutes. Mais même ainsi, j’ai lutté, j’ai fait ma part, qui était de faire les examens qu’il fallait faire, mais il n’y avait plus de solution. C’était soit l’avortement, soit lorsque le bébé allait naître il devait subir une chirurgie, mais il n’allait pas être en bonne santé malgré cela, il n’allait pas marcher et une série de problèmes et peut-être même qu’il n’allait pas survivre.
Et le diable me mettait des pensées horribles. Alors, un jour, après être venu d’une consultation remplie de douleurs, et très triste, je suis arrivée à la maison et j’ai fléchi mes genoux pour prier et je n’y arrivais pas, mais même ainsi j’ai entendu la voix de Dieu qui me disait, je suis avec toi, alors le rapport est tombé, le diable voulait toucher ma foi.
Je suis restée révoltée, je me suis levée remplie de haine et j’ai , maudit, même si Mon Seigneur ne me donne aucun enfant, je ne Le renierai pas, car Il est Le Seigneur de ma vie et Dieu m’a fortifié, mais la douleur continuait, les pasteurs m’orientaient, priaient pour moi, mais la situation était entre moi et Dieu. Personne pouvait aider, alors j’ai dit à Dieu, je vais faire cet avortement, mais Le Seigneur est obligé de faire quelque chose pour moi, retirer cette douleur et ce sentiment d’humiliation et qu’Il me donne la force et la paix. Et ce fut ainsi, j’ai retiré le bébé, c’était une belle petite fille, comme je désirais. Les médecins et les infirmiers trouvaient que j’étais mal psychologiquement car j’étais tranquille, je ne pleurais pas, j’avais la paix.
Tous ceux qui me connaissaient, ne comprenaient pas ma paix mais les pensées négatives venaient. Et le dimanche c’était la fêtes des mères et à la base je ne voulais pas y aller mais je me suis dit que je vais y aller, j’ai été et j’ai continué à y aller et à croire et dans la même semaine j’ai retiré une promesse qui disait que la gloire de la deuxième maison sera plus grande que la première. J’ai Cru en cette promesse et j’ai continué à persévérer et à agir ma foi. Et Dieu a honoré.
Lorsque vous mettez toute votre foi en Dieu et que vous mettez le sentiment de côté, alors Il a le libre accès pour vous bénir. Aujourd’hui, j’ai ma bénédiction ici.
Lorsque j’ai décidé d’avoir un enfant, mon mari et moi, n’y arrivions pas, c’est seulement après un an et demie de beaucoup de luttes que j’y suis arrivée. J’étais très contente car j’allais réaliser un rêve, celui de devenir mère et de former une famille. Dans la 14eme semaine de grossesse j’ai réalisé un bilan sanguin, un examen de routine. Après deux jours, le médecin m’a appelé pour me dire qu’il a constaté quelque chose dans mon sang, et que je devais retourner là-bas pour refaire l’examen. Et à ce moment là, il m’a dit ce que cela pouvait être, et il m’a envoyé voir un spécialiste.
J’ai dû attendre une semaine, car c’était encore trop tôt pour voir les résultats ! Alors, j’ai ensuite été voir le spécialise et il m’a confirmé que le bébé avait une malformation dans la colonne.
Je suis restée hors de moi, mais je croyais en Dieu, qu’Il pouvait changer cette situation. J’ai dû faire une Amin synthèse et une série d’échographie spéciales, et je voyais mon bébé bouger et on ne pouvait pas le croire, car il était parfait. Ma dernière consultation avec le médecin, pour connaître le résultat de l’Amin synthèse et pour savoir si cela était grave ou non, je n’avais jamais entendu parler de ce problème, alors le médecin a dit que ce n’était pas génétique mais que le bébé a la colonne ouverte et qu’il fallait que j’avorte en urgence avant les 23 semaines.
J’ai perdu mon souffle et j’ai commencé à questionner Dieu, pourquoi moi, pourquoi cette humiliation si je te sers, et le diable travaillait dans ma pensée, tu as vu maintenant tout le monde va se moquer de toi, quel Dieu est-Il pour te laisser dans cette honte, bref que des doutes. Mais même ainsi, j’ai lutté, j’ai fait ma part, qui était de faire les examens qu’il fallait faire, mais il n’y avait plus de solution. C’était soit l’avortement, soit lorsque le bébé allait naître il devait subir une chirurgie, mais il n’allait pas être en bonne santé malgré cela, il n’allait pas marcher et une série de problèmes et peut-être même qu’il n’allait pas survivre.
Et le diable me mettait des pensées horribles. Alors, un jour, après être venu d’une consultation remplie de douleurs, et très triste, je suis arrivée à la maison et j’ai fléchi mes genoux pour prier et je n’y arrivais pas, mais même ainsi j’ai entendu la voix de Dieu qui me disait, je suis avec toi, alors le rapport est tombé, le diable voulait toucher ma foi.
Je suis restée révoltée, je me suis levée remplie de haine et j’ai , maudit, même si Mon Seigneur ne me donne aucun enfant, je ne Le renierai pas, car Il est Le Seigneur de ma vie et Dieu m’a fortifié, mais la douleur continuait, les pasteurs m’orientaient, priaient pour moi, mais la situation était entre moi et Dieu. Personne pouvait aider, alors j’ai dit à Dieu, je vais faire cet avortement, mais Le Seigneur est obligé de faire quelque chose pour moi, retirer cette douleur et ce sentiment d’humiliation et qu’Il me donne la force et la paix. Et ce fut ainsi, j’ai retiré le bébé, c’était une belle petite fille, comme je désirais. Les médecins et les infirmiers trouvaient que j’étais mal psychologiquement car j’étais tranquille, je ne pleurais pas, j’avais la paix.
Tous ceux qui me connaissaient, ne comprenaient pas ma paix mais les pensées négatives venaient. Et le dimanche c’était la fêtes des mères et à la base je ne voulais pas y aller mais je me suis dit que je vais y aller, j’ai été et j’ai continué à y aller et à croire et dans la même semaine j’ai retiré une promesse qui disait que la gloire de la deuxième maison sera plus grande que la première. J’ai Cru en cette promesse et j’ai continué à persévérer et à agir ma foi. Et Dieu a honoré.
Lorsque vous mettez toute votre foi en Dieu et que vous mettez le sentiment de côté, alors Il a le libre accès pour vous bénir. Aujourd’hui, j’ai ma bénédiction ici.
Colaboration
Carina Bravo
Zurich
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