Le rejet, les blagues, les problèmes
psychologiques et de santé ont commencés tôt. Comme je suis née un peu
différente et pas très jolie, ni tous voulais me porter. Dès les premières semaines j'ai
commencé à avoir les premières maladies et les infirmités m'ont accompagnée jusqu'à mon adolescence. Egalement j’avais quelques
difficultés physiques qui aux yeux de beaucoup, et même de ma famille, étaient
un « plat » de blagues ce qui me blessait beaucoup, et me rendait
très fragile en étant avec les gens, en ceci je décris mon histoire.
J’AI DEJA EU
LE DESIR DE MOURIR ...
Plus ou moins à l’âge de quatre ans j’ai
commencé à avoir un désir de suicide et dépression, en plus d'être extrêmement
déprimé et sensible, l’estime de moi-même était très faible, je me voyais la
plus laide, ne méritant rien, et personne ne me donnait de valeur, tout ce que
j’avais entre mes mains se brisait, mon surnom à la maison était « main de
beurre » et par ces choses je pensais que toute mal- chance du monde, était
sur moi et je n'arrivais à rien. J’étais querelleuse, dure, je
répondais, peu importe si âgé, jeune, homme, femme, si on me laissait nerveuse je
partais en furie et parfois ça résultait en violence. Même si ma famille était
structurée et avait une excellente condition financière j'étais extrêmement
malheureuse, insatisfaite et vide. Au fil du temps, j'ai commencé à faire
des cauchemars, puis de l'insomnie peu de temps après, entendre des voix et
voir des ombres.
J’AVAIS
PLAISIR DANS LES QUERELLES ...
Outre ces problèmes, je semais la
discorde entre mes proches, je mettais l’un contre l'autre par des mensonges,
et ainsi l’un disputait toujours l’autre. J’étais très dure, je savais que
je mentais, je savais que c'était ma faute, je savais que je blessais et j’étais
injuste envers mes parents et mes frères, mais cela m’importait peu, et je
continuais en ce chemin. Une fois j’ai fais ma mère licencier une
fille qui travaillait à la maison en l'accusant de vol, j'ai vu la femme
pleurer dévastée, je savais que c'était un mensonge mais j’ai affirmé à ma mère
en présence de la femme qu'elle était coupable, je l'ai vu partir accablée et je
n'ai rien fait.
Je détestais la nature, il me plaisait
la détruire, le jardin de ma grand-mère en est témoins, je vivais dans un monde
clos créer par ma pensée. Malgré tout cela, j’aimais ma mère. Elle a toujours été là pour moi pour
que je me sente spéciale, aimé, soigné, belle comme une princesse. Elle était mon refuge, elle ne
plaisantait jamais sur mes défauts, elle n’a pas cessez de croire en moi, ce
fut un motif de me lever chaque matin. A cause de sérieux problèmes, ma famille
s'est brisée et je suis allée vivre avec mon père, ma mère étant incapable de
me soutenir financièrement, ce qui m'a fait croire, et j’ai supposé en moi
qu'elle m'avait abandonné, avait désisté de moi, qu’elle ne voulait plus de
moi, que j’étais un problème pour elle ; cela m'a apporté déception et
douleur si profonde au point de bloquer
mon souffle.
Je ne me sentais plus protégée, seule et
avec le temps l'amour que j’avais pour ma mère s'est transformée en une haine
mortelle à nos rencontres je faisais en sorte de lui dire que je la haïssais, de
lui manquer au respect, de l'humilier,
la mépriser et de faire savoir que c'était la pire mère sur la planète
Terre. Chaque fois que nous étions ensemble c’était
disputes sur disputes et je m’effondrais toujours plus dans la dépression, dans
les blessures et la colère que je ressentais.
LES
PROBLEMES NE FAISAIS QU’AUGMENTER POUR MOI…
Comme je grandissais d’autres problèmes
surgissaient, j’avais des difficultés à l'école pour apprendre, et d’être
acceptée et cela a aggravé mon état. Dès lors j'ai renoncé à moi-même, j'ai grossit
de trop, j’ai cessé de m’arrangé, je ne voulais pas prendre soin de moi et je
pensais n'avoir aucune valeur, que personne ne m'aimait, que j'étais la
créature la plus horrible dans le monde, personne ne me regardait. J'ai perdu la capacité de sourire
et les de sauts d'humeur, l'agressivité, l'impolitesse, les conflits, la
nervosité étaient constants en moi. Mais quelqu'un me voyait comme un
diamant rare et de grande valeur,
me considérait comme un grand présent de Dieu et qui n'a jamais cessé de
prier pour moi un seul jour, même avec la situation qui s’aggravait, elle est
toujours restée à genoux pour demander en ma faveur.
J’AI TENTER
D’AGRESSER MA MERE...
Un jour au milieu d’une dispute j’ai
commencé à crier, traiter ma mère d’insultes en disant à quel point je l’a
haïssait et je suis devenu tellement nerveuse que j’ai perdu le contrôle de
moi, je me suis lancée avec un poing fermé pour lui donner un coup de poing, à ce moment-là elle a tenue ma main et
a bien regardée dans mes yeux me donnant une énergie qui m'a permis de voir mon
état, au point ou j’était arrivé et dans quel état je me trouvais. J'ai été choquée quand je me suis
vue et quelques heures après je lui ais demandée de l'aide, j'ai entendu tout
ce qu'elle a dit et j’ai choisi lui obéir, elle a commencé à récolter les prières
qu'elle avait fait et faisait pour moi.
LES MAUVAISES
LES RACINES ONT ETE ARRACHEES ...
Peu à peu, je changeais, je me suis délivrée
de la dépression, j’ai arrêté d’entendre des voix et avoir des visions, j’ai
été guérie des maladies, délivrée de l’agressivité, nervosité, de l'amertume
(j’ai réussi à la comprendre et lui pardonner), délivrée de la haine à son
égard et envers les autres, de mes conflits et complexes, je me suis pardonnée
de tout le mal que j’avais fait, parce qu’à travers la foi j’ai trouvé la
raison de vivre, j'ai commencé à m'accepter, et à m'aimer.
LES FLEURS ONT
SURGIES ET AVONS RECOLTE LES BONS FRUITS ...
A partir de là, j'ai réussi à découvrir
ma meilleure amie et laisser un nouvel amour, immense pour elle naître dans mon
cœur, je lui ai demandé pardon (et à ceux que j’ai porté préjudice) promptement
elle m'a pardonnée avec ce sourire de maman qui nous démonte et m’a fait sentir
comme un bébé enveloppé dans les bras, je l’ai laissée s'approcher de moi, me conquérir
et prendre soin de moi.
Nous avons une relation d’amies, nous
sommes unies en tous moments, dans n'importe quelle situation. En surgissent des difficultés,
nous nous approchons plus, car nous sommes une famille très unie.
CAR MA MERE
A PRIER POUR MOI...
Je suis reconnaissante de cette foi et
cet amour pur, authentique, intouchable venant du propre DIEU, elle est en soi
un miroir de son amour pour tout être humain.
Aujourd'hui, je suis heureuse, libre, y
compris je travaille avec elle, nous sommes super amies, j’ai regagné le
sourire, je souris trop même, je me suis retrouvée, j'ai rempli mon vide, la
foi de ma mère a été et est à ce jour un exemple de vie. Je suis également amie de mes
frères, j'aime ma famille, je me vois dans un esprit positif, j’ai surpassé les
complexes, j’ai une parfaite santé et par où ma mère passe, aujourd'hui, elle
entend de bonnes choses à propos de moi et plus de plaintes comme avant.
MA GRATITUDE
...
Tous ceux qui ne croyaient pas dans un avenir pour moi, maintenant voient
la puissance de la prière de ma mère et un nouvel avenir se construit pour moi. Elle continue à prier pour ma vie
et je l'admire et l’aime d'une manière inexplicable. Mon amour et gratitude grandissent
et se renouvellent chaque jour pour Dieu et pour elle. Alors je profite pour l’a
remercié pour tout, pour chaque prière, pour la patience et de ne jamais avoir
désisté de moi, et je sais qu'ensemble, nous aurons beaucoup plus de victoires.
La prière d'une mère peut faire ce qui était méprisé devenir une référence
positive. C'est cela que la prière de ma mère à
provoquer et provoque dans ma vie.
Avec un grand sourire et amour
Mariana Sebatian - La fille de Lorraine
Sebastian
Merci mon Dieu pour les miracles que tu manifestes par les biais de la prières des mères donnes nous le courage et la persévérance.
RépondreSupprimerBeaucoup d'enfants ont besoin de nos prières pour qu'ils réalisent l'importance de leur vie et les capacités qu'ils ont le potentiel qui les habite.
Gladys de Montreuil.