22 oct. 2012

JE N'AVAIS PAS CE SOURIRE


 
 
Le rejet, les blagues, les problèmes psychologiques et de santé ont commencés tôt. Comme je suis née un peu différente et pas très jolie, ni tous voulais me porter. Dès les premières semaines j'ai commencé à avoir les premières maladies et les infirmités m'ont accompagnée  jusqu'à mon adolescence. Egalement j’avais quelques difficultés physiques qui aux yeux de beaucoup, et même de ma famille, étaient un « plat » de blagues ce qui me blessait beaucoup, et me rendait très fragile en étant avec les gens, en ceci je décris mon histoire.

J’AI DEJA EU LE DESIR DE MOURIR ...
Plus ou moins à l’âge de quatre ans j’ai commencé à avoir un désir de suicide et dépression, en plus d'être extrêmement déprimé et sensible, l’estime de moi-même était très faible, je me voyais la plus laide, ne méritant rien, et personne ne me donnait de valeur, tout ce que j’avais entre mes mains se brisait, mon surnom à la maison était « main de beurre » et par ces choses je pensais que toute mal- chance du monde, était sur moi et je n'arrivais à rien. J’étais querelleuse, dure, je répondais, peu importe si âgé, jeune, homme, femme, si on me laissait nerveuse je partais en furie et parfois ça résultait en violence. Même si ma famille était structurée et avait une excellente condition financière j'étais extrêmement malheureuse, insatisfaite et vide. Au fil du temps, j'ai commencé à faire des cauchemars, puis de l'insomnie peu de temps après, entendre des voix et voir des ombres.  

J’AVAIS PLAISIR DANS LES QUERELLES ...
Outre ces problèmes, je semais la discorde entre mes proches, je mettais l’un contre l'autre par des mensonges, et ainsi l’un disputait toujours l’autre. J’étais très dure, je savais que je mentais, je savais que c'était ma faute, je savais que je blessais et j’étais injuste envers mes parents et mes frères, mais cela m’importait peu, et je continuais en ce chemin. Une fois j’ai fais ma mère licencier une fille qui travaillait à la maison en l'accusant de vol, j'ai vu la femme pleurer dévastée, je savais que c'était un mensonge mais j’ai affirmé à ma mère en présence de la femme qu'elle était coupable, je l'ai vu partir accablée et je n'ai rien fait.

Je détestais la nature, il me plaisait la détruire, le jardin de ma grand-mère en est témoins, je vivais dans un monde clos créer par ma pensée. Malgré tout cela, j’aimais ma mère. Elle a toujours été là pour moi pour que je me sente spéciale, aimé, soigné, belle comme une princesse. Elle était mon refuge, elle ne plaisantait jamais sur mes défauts, elle n’a pas cessez de croire en moi, ce fut un motif de me lever chaque matin. A cause de sérieux problèmes, ma famille s'est brisée et je suis allée vivre avec mon père, ma mère étant incapable de me soutenir financièrement, ce qui m'a fait croire, et j’ai supposé en moi qu'elle m'avait abandonné, avait désisté de moi, qu’elle ne voulait plus de moi, que j’étais un problème pour elle ; cela m'a apporté déception et douleur si profonde au point de  bloquer mon souffle.

Je ne me sentais plus protégée, seule et avec le temps l'amour que j’avais pour ma mère s'est transformée en une haine mortelle à nos rencontres je faisais en sorte de lui dire que je la haïssais, de lui manquer au respect, de l'humilier,  la mépriser et de faire savoir que c'était la pire mère sur la planète Terre. Chaque fois que nous étions ensemble c’était disputes sur disputes et je m’effondrais toujours plus dans la dépression, dans les blessures et la colère que je ressentais.

LES PROBLEMES NE FAISAIS QU’AUGMENTER POUR MOI…
Comme je grandissais d’autres problèmes surgissaient, j’avais des difficultés à l'école pour apprendre, et d’être acceptée et cela a aggravé mon état. Dès lors j'ai renoncé à moi-même, j'ai grossit de trop, j’ai cessé de m’arrangé, je ne voulais pas prendre soin de moi et je pensais n'avoir aucune valeur, que personne ne m'aimait, que j'étais la créature la plus horrible dans le monde, personne ne me regardait. J'ai perdu la capacité de sourire et les de sauts d'humeur, l'agressivité, l'impolitesse, les conflits, la nervosité étaient constants en moi. Mais quelqu'un me voyait comme un diamant rare et de grande valeur,  me considérait comme un grand présent de Dieu et qui n'a jamais cessé de prier pour moi un seul jour, même avec la situation qui s’aggravait, elle est toujours restée à genoux pour demander en ma faveur.

J’AI TENTER D’AGRESSER MA MERE...
Un jour au milieu d’une dispute j’ai commencé à crier, traiter ma mère d’insultes en disant à quel point je l’a haïssait et je suis devenu tellement nerveuse que j’ai perdu le contrôle de moi, je me suis lancée avec un poing fermé pour lui donner un coup de poing,  à ce moment-là elle a tenue ma main et a bien regardée dans mes yeux me donnant une énergie qui m'a permis de voir mon état, au point ou j’était arrivé et dans quel état je me trouvais. J'ai été choquée quand je me suis vue et quelques heures après je lui ais demandée de l'aide, j'ai entendu tout ce qu'elle a dit et j’ai choisi lui obéir, elle a commencé à récolter les prières qu'elle avait fait et faisait pour moi.

LES MAUVAISES LES RACINES ONT ETE ARRACHEES ...
Peu à peu, je changeais, je me suis délivrée de la dépression, j’ai arrêté d’entendre des voix et avoir des visions, j’ai été guérie des maladies, délivrée de l’agressivité, nervosité, de l'amertume (j’ai réussi à la comprendre et lui pardonner), délivrée de la haine à son égard et envers les autres, de mes conflits et complexes, je me suis pardonnée de tout le mal que j’avais fait, parce qu’à travers la foi j’ai trouvé la raison de vivre, j'ai commencé à m'accepter, et à m'aimer.  

LES FLEURS ONT SURGIES ET AVONS RECOLTE LES BONS FRUITS ...
A partir de là, j'ai réussi à découvrir ma meilleure amie et laisser un nouvel amour, immense pour elle naître dans mon cœur, je lui ai demandé pardon (et à ceux que j’ai porté préjudice) promptement elle m'a pardonnée avec ce sourire de maman qui nous démonte et m’a fait sentir comme un bébé enveloppé dans les bras, je l’ai laissée s'approcher de moi, me conquérir et prendre soin de moi.
Nous avons une relation d’amies, nous sommes unies en tous moments, dans n'importe quelle situation. En surgissent des difficultés, nous nous approchons plus, car nous sommes une famille très unie.

CAR MA MERE A PRIER POUR MOI...
Je suis reconnaissante de cette foi et cet amour pur, authentique, intouchable venant du propre DIEU, elle est en soi un miroir de son amour pour tout être humain.
Aujourd'hui, je suis heureuse, libre, y compris je travaille avec elle, nous sommes super amies, j’ai regagné le sourire, je souris trop même, je me suis retrouvée, j'ai rempli mon vide, la foi de ma mère a été et est à ce jour un exemple de vie. Je suis également amie de mes frères, j'aime ma famille, je me vois dans un esprit positif, j’ai surpassé les complexes, j’ai une parfaite santé et par où ma mère passe, aujourd'hui, elle entend de bonnes choses à propos de moi et plus de plaintes comme avant.

MA GRATITUDE ...
Tous ceux qui ne croyaient pas dans un avenir pour moi, maintenant voient la puissance de la prière de ma mère et un nouvel avenir se construit pour moi. Elle continue à prier pour ma vie et je l'admire et l’aime d'une manière inexplicable. Mon amour et gratitude grandissent et se renouvellent chaque jour pour Dieu et pour elle. Alors je profite pour l’a remercié pour tout, pour chaque prière, pour la patience et de ne jamais avoir désisté de moi, et je sais qu'ensemble, nous aurons beaucoup plus de victoires.
La prière d'une mère peut faire ce qui était méprisé devenir une référence positive. C'est cela que la prière de ma mère à provoquer et provoque dans ma vie.
Avec un grand sourire et amour

Mariana Sebatian - La fille de Lorraine Sebastian

1 commentaire:

  1. Merci mon Dieu pour les miracles que tu manifestes par les biais de la prières des mères donnes nous le courage et la persévérance.
    Beaucoup d'enfants ont besoin de nos prières pour qu'ils réalisent l'importance de leur vie et les capacités qu'ils ont le potentiel qui les habite.
    Gladys de Montreuil.

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