Des garçons âgés de 12 à 15 ans, parlaient en groupes, bien arrangés,
cheveux bien peignés.
Je ne sais pas ce qui m’a pris ce jour-là, mais j’ai eu une attaque de sentiments
mélangés d’inquiétude.
J’ai regardé ma fille et j’ai pensé: Et maintenant? Elle va commencer une
phase de découvertes. Le monde semble vouloir égorger nos enfants!
J’ai pensé à ces garçons voulant s’approcher de ma fille, j’ai pensé
aux mauvaises influences… Ouf, j’ai pensé et j’ai senti.
Ce furent de courts moments entre le portail et la salle de classe,
où suite à notre entrée, j’avais déjà oublié l’attaque massive de ces
sentiments fugaces.
Juste pour préciser, j’étais sortie de la maison avec elle, parlant tout au long
du chemin de mauvaises influences.
C’était un lundi et l’après-midi, je nettoyais la maison en silence, mes
pensées étaient calmes.
J’ai été prise au dépourvu…
Vous savez ce sentiment d’inquiétude que vous avez ressenti?
C’est parce que vous n’étiez pas en train de confier en Moi et Mon travail dans sa vie.
Mon cœur s’est rempli de crainte, Dieu me parlait.
Peu importe la condition, la situation ou les répliques, que nous voulons
donner pour camoufler ce qui plaît à Dieu.
Cette expérience a été un réveil pour ouvrir ma vision sur la confiance en Dieu.
«A chaque fois que vous vous inquiéterez, resterez anxieuse, voudrez résoudre
quelque chose de votre manière ou ressentiez ce qui vous empêche d’avoir la paix,
c’est parce qu’au fond, au fond vous ne confiez pas en Dieu.»
Évaluez dans quel domaine de votre vie, vous n’avez pas confiance en Dieu
et à cause de cela, vous vous montez même des scènes dans votre esprit,
sur votre vie sur quelque chose qui n’est pas arrivé ou ne se produira jamais
et vous décidez de remettre et de confier tout dans les mains de Dieu.
«A celui qui est ferme dans ses sentiments Tu assures la paix, la paix,
parce qu’il se confie en Toi.» (Esaïe 26:3)
Flávia Sousa – Roumanie
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