23 sept. 2013

Le combat d`une mère qui prie pour sa fille.




Je n'ai pas projeté de tomber enceinte, mais lorsque j'ai eu 5 mois de mariage, j'ai eu la nouvelle que j'étais enceinte. Tout le peu d'attention était pour cet être qui croissait à l'intérieur de moi. Je ne connaissais pas le pouvoir de Dieu, j'étais juste une femme remplie de religiosité. Sans sagesse, j'ai présenté ma fille aux esprits pour la protéger. Alors, ma fille aimé Luciana est née en 1982, mon époux et moi, avons connu le Dieu Vivant en 1984.
J'ai entendu parler de Jésus, et alors j'ai commencé a changé dans l'éducation, et j'ai compris ce qui était correct et ou erroné. Et là j'ai débuté dans les normes chrétiennes. Le temps est passé, et ma famille servait toujours le Seigneur Jésus, ici et là... entre un état et un autre. 

Je ne comprenais pas que Lú, ma fille, était loin, et était en train de s'éloigner de la foi qu'elle avait appris, elle était en train de former son monde. Je n'acceptais pas qu'elle ne veuille pas faire partie de notre monde. Elle était en train de construire son monde au rythme des soirées du moment, les sorties, les promenades avec les amis. Malgré qu'elle avait ces comportements, elle était une jeune fille tranquille. Mais cette tranquillité s'en est allée, elle est devenu insolente, rebelle, inquiète, et elle voulait faire des choses qu'on ne voulait pas qu'elle fasse, car on savait que cela était erroné. En même temps qu'elle était proche de nous, elle était loin aussi. Son corps était présent mais sa pensée était très loin de nous.

Elle est devenue une adolescente qui avait une tristesse très grande, presque une dépression, car elle voulait seulement faire sa volonté. Je n'ai pas compris qu'à l'intérieur d'elle il y avait un vide si grand. Elle avait une lutte avec elle-même, mais cela me faisait chaque fois plus mal. Tout ce qui était important pou elle était "les amis" de l'école, de la formation, de l'académie, d'internet ...  Je sais que le jeune a ses moments de fugue lorsqu'il reste dans son petit monde, et il ne nous permet pas d'entrer dans ce petit monde pour l'aider. Alors, ce fut des jours et des nuits horribles, seulement Dieu même pour nous soutenir. Tout la gênait, elle a commencé à s'irriter quand nous avons été transférés, lorsqu'elle a dû changer d'école. Il y a eu une année ou elle a été dans trois écoles... Elle avait un rêve et elle voulait qu'il se réalise, et bien loin de nous, cela était bien clair par ses attitudes. Alors j'ai compris que j'étais en train de la perdre, cela me faisait sentir beaucoup de douleur, et quelle douleur, mon Dieu! J'ai commencé à lutter, à prier, à agir la foi, à faire des chaînes de prières, aller devant l'autel lorsque le pasteur ou l'Evêque appelait, j'allais, et je ne me préoccupais pas avec ce qu'on allait penser de moi en tant qu'épouse, parce que ce que j'avais déterminé c'était de vaincre ce mal qui voulait détruire ma fille. 

Avec sagesse, j'ai conquis son amitié, nous parlions beaucoup.
Une fois j'étais en train de prier dans sa chambre, allongée par terre, avec les photos dans les mains,en clamant, lorsqu'elle est entrée dans la chambre elle m'a ordonné de me lever parce qu'elle ne voulait pas faire l'oeuvre, elle ne voulait pas avoir notre vie, car si on pensait bien, mon désir n'était pas pour qu'elle ait sa vie ainsi. Elle ne voulait pas avoir un compromis avec Dieu. Ce fut des moments de beaucoup de luttes et de douleurs, mais ça a valut la peine! Je n'ai jamais désisté de ma fille. Nous ne devons jamais cesser de prier, clamer et d'agir la foi avec intelligence.  


J'ai fait un propos pour sa vie sentimentale, et j'ai dit à Dieu que je serais fidèle jusqu'à ce que Dieu la bénisse en mettant dans sa vie un homme de Dieu, pour s'unir à elle et qu'ils grandissent ensemble. Je ne me rappelle pas combien de temps, j'ai persévéré, et cela s'est produit! Tout a changé, elle s'est convertie! Dieu a fait l'oeuvre au complet dans tous les sens. Et aujourd'hui elle fait l'oeuvre sur l'autel, elle est aux côté d'un grand homme de Dieu. Et je dois juste Le remercier pour tout ce qu'il a fait et a dû faire.    

Ainsi, comme par la foi j'ai réussi a avoir ma fille également sur l'autel de Dieu, aujourd'hui je suis très contente de faire partie du Projet Mères qui Prient ici à Florianópolis, et être en train d'aider en apportant aux mères la même foi qui a transformé mes larmes en sourires, de joie et de bonheur.

Mères ne désistez pas de vos enfants, luttez dans la foi avec sagesse! 

Merci Beaucoup Seigneur Jésus!

Comptez avec nous dans ce propos, 


Rosane Oliveira

3 commentaires:

  1. Quel témoignage qui glorifie l’Éternel Notre Père ! Dieu répond à la persévérance d'une mère qui prie. Merci pour ce partage d'expérience, ce témoignage me fortifie car je suis aussi une mère qui prie, et je verrai la gloire de Dieu dans la vie de mon fils.

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  2. Tu nous donne vraiment l'envie de lutter sans compter pour nos enfants merci pour ton témoignage Rosane.

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  3. Très beau témoignage qui montre le prix de la persévérance.

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