Un jour
dans une petite ouverture il avait un cocon. Un monsieur se s'est assis et
l'observait le papillon pendant des heures, l'effort qu'il faisait pour pouvoir
faire son corps sortait de ce petit trous. Alors au moment qu'il semble qu'il avait
arrêté de faire des progrès, on avait l'impression qu'il avait déjà était très
loin, qu'il pouvait mais n'arrivait pas à aller au-delà.
Le monsieur
a décidé d'aider le papillon: il a pris un ciseau et a coupé le restant du
cocon. Le papillon est sorti tout de suite avec plus facilité mais son corps
était flétri, petit et ces ailles bosselés.
Le monsieur a continué à l'observer parce qu'il s'attentait
à voir le moment que ces ailles allés s'ouvrir et il serait en mesure de
supporter le corps, rester debout. Mais rien est arrivé! Dans la réalité, le
papillon a passé le reste de sa vie à se ramper avec un corps flétri, des ailles
bosselés... Il n'a jamais été capable de voler...
Le monsieur avec toute sa gentillesse et volonté d'aider n'a
pas compris que le cocon était étroit mais que le papillon devrait faire
l'effort nécessaire pour passer dans cette petite ouverture, c'était le moyen par
lequel Dieu a fait pour que le fluide de son corps puisse aller jusqu'à ses
ailles de façon, il serait apte à voler une fois de hors du cocon.
Nous mères, beaucoup de fois nous sommes « le monsieur qui a
coupé le cocon » de cette histoire.
Quand nous sommes en face d'une situation difficile que nos
enfants vont face, tout de suite nous voulons prendre le ciseau pour
coupé le cocon et le libérer de cette difficulté. La vérité c'est nous arrivons
presque toujours car autant que mères nous ne mesurons pas nos forces pour
empêcher «la souffrance» de nos enfants
Cependant, il y a des moments que nous pensons que nous les
protégeons ou
les aidons mais non, nous empêchons que leurs cycle
d'apprentissage ce termine, alors ils n'arrivent pas a être prépares, murs,
prêts pour que le propos de Dieu s’accomplisse dans leurs vie.
Nous ne pouvons pas laissé le sentiment être plus fort de
notre foi.
Il y a des fois que l'effort est justement ce que nous avons
besoin dans notre vie. Si Dieu permet que dans notre vie il n' a pas des
obstacles, Il serait en train de nos laissé «estropiés». Ils ne seront jamais si forts comme ils peuvent
l'être, ils ne voleront jamais.
Si nous remettons nos enfants entre les mains de Dieu, nous
devons être sûr que Lui autant que père ne laissera jamais que quelque chose
de mal arrive.
C'est sûr est certain, qui a des situations que nous pouvons
aider nos enfants assumer notre rôle de mère et faire le meilleur pour eux,
mais il y a des moments que nous ne devons pas interférer dans ce que Dieu,
Lui-même permets mais plutôt laisser la volonté de Dieu s'accomplir.
Nous devons avoir la sagesse pour comprendre quel est
l'attitude à avoir dans chaque
situation, en soutenant toujours nos enfants en prière, en fin de compte la prière c'est la meilleur arme que nous avons
contre tout le mal qui vient
contre nous et notre famille.
Notre prière c'est ce que soutiendra nos enfants dans le
moment qui ils serons en train de se battre pour sortir du «cocon» de ses
problèmes et ils sortiront en tapant les ailles en direction des ses
conquêtes, victoires et à une vie établie dans la présence de Dieu.
«Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de
ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein.» (Romains
8:28)
Toujours en prière !
Mme Marilene Cardozo - Mère Qui Prient - Brasil
nous les mères nous sommes souvent dans le maternage excessif.
RépondreSupprimerMais nous devons lâcher prise et permettre que la volonté de Dieu s'accomplisse dans la vie de nos
enfants et bien-sure rester en prière pour eux.